NORBERT MERJAGNAN

 

Norbert

« L’île des pierres lentes »de Norbert MERJAGNAN fait partie d’un recueil collectif de nouvelles de science-fiction intitulé « Faites demi-tour dès que possible » qui vient de paraître aux éditions « la Volte. »

BIOGRAPHIE DE NORBERT MERJAGNAN

Norbert, né à Sisteron en 1968 est originaire de notre village, Pietra di Verde où il a longtemps séjourné pendant son enfance et son adolescence et où il est souvent revenu à l’âge adulte. Il est le fils du docteur Raymond MERJAGNAN et de Ninette son épouse, née VALERY, fille de François-Antoine (Cantone) VALERY et d’Anne-Camille née CALENDINI.

Norbert est Diplômé de l’IEP de Grenoble et titulaire d’un DEA d’Administration Publique. En 1996, il rejoint le siège du Crédit Agricole où il prendra en responsabilité les activités Internet et e-commerce au sein du département « Entreprises et Collectivités locales » jusqu’en 2005.

En 2005, il quitte Paris et part s’installer près de Nantes, en bord de Loire. Il entend dès ce moment se consacrer exclusivement à l’écriture.

« Les Tours de Samarante » (Éditions Denoël, Lunes d’encre, mars 2008), son premier roman, est lauréat du Nouveau Grand Prix de la Science Fiction française (Prix du Lundi) 2008. Le roman paraît chez Folio SF en avril 2011.

Norbert est l'un des auteurs de l'anthologie 69 (ActuSF octobre 2009), dans laquelle il a publié la nouvelle : "Louise ionisée", nominée au Grand Prix de l'Imaginaire. Son second roman, « Treis, Altitude Zéro », paraît aux Éditions Denoël, Lunes d'encre en mars 2011

L’ÎLE DES PIERRES LENTES

« L’ile des pierres lentes » nouvelle de science fiction où l’imaginaire occupe par principe une place prépondérante prend néanmoins ses racines dans le détail et le relief du réel.  Norbert inscrit son intrigue  dans les spécificités et les vérités de lieux qui évoquent  la Corse et le village de ses ancêtres.

Le voyage sur le paquebot Bonaparte est bien réel,  la ville de Bastiglia fait référence à l’ancien nom de Bastia, les prénoms corses, même s’ils semblent quelque peu étranges (Orsu Piu, Ghjuvan Bitu, Maria Pisina,…)  ont bien existé. Les toponymes (Les Temponi, la Bertolaccia, l’Abbadia, U Cavu) sont familiers aux habitants de Pietra di Verde.

Les deux notions qui pourraient sembler antinomiques : d’un côté l’ancrage dans les spécificités et les vérités d’un lieu, et de l’autre le dépassement des frontières et du réel sont bien présentes dans ce texte.

 

La nouvelle est téléchargeable sur internet (http://www.amazon.fr)

 

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