Pietra, ton nom résonne du haut de ton clocher
Ignorant le vertige il y reste accroché,
Et malgré les éclairs, et malgré les orages
Ton ciel reste clair et nous prend en otages
Rien ne peut effacer nos souvenirs lointains
A Chjova portant larmes, peines et puis chagrin
Du plus profond des cieux, de la pierre à l’écrin
Il fallut plusieurs dieux pour tracer ton chemin,
Venir sur ce rocher au milieu des étoiles
Et l’entourer parfois de mille épaisses voiles
Rendant ce lieu divin, aussi pur que discret,
De Tozza ils en firent, je suis sûr, leur palais
Et de ce qu’il domine, la plus belle des toiles
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